Ode à mon lit

Publié le par Marianne

Ô toi ma joie

De ces soirs où je rêve de toi

Depuis ces matins où la journée va être longue

Ô toi qui m'appelle

Silencieusement

Et que je rejoins

En tirant délicieusement la couette sur mon nez

Où je me délecte

Et je sautillerais presque

Si je n'étais déjà couchée

Prête à m'endormir

Dans les bras de Morphée.

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