Ode à mon lit
Ô toi ma joie
De ces soirs où je rêve de toi
Depuis ces matins où la journée va être longue
Ô toi qui m'appelle
Silencieusement
Et que je rejoins
En tirant délicieusement la couette sur mon nez
Où je me délecte
Et je sautillerais presque
Si je n'étais déjà couchée
Prête à m'endormir
Dans les bras de Morphée.